EditosUneVidéosYoutubeL’ultragauche est un poison mortel – VIDEO (14.08.24)

14 août 2024
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Alain Avello, directeur de « Défis Souverainistes », revient sur les exactions récentes commises par des groupes d’ultragauche, notamment le sabotage d’installations LGV, alors que débutaient les Jeux Olympiques, et expose en quoi cette mouvance constitue un poison mortel, menaçant gravement la démocratie et notre République.

Version écrite :

C’est peut-être, entre autres raisons, parce que je suis nantais que je me fais aujourd’hui un devoir d’alerter sur une situation qui est ― comment ne pas le reconnaître ? ― des plus inquiétantes, situation qui pourrait de surcroît connaître un regain et une nette aggravation, dès la rentrée, compte  tenu du contexte politique : bien sûr, le NFP ne verra pas de Premier ministre issu de ses rangs, bien qu’il s’imagine que cela lui est dû.

Nantes, donc, 6e ville de France, autrefois qualifiée de « ville où il [faisait] bon vivre », a en effet été de multiples fois le théâtre de destructions, de saccages à répétition perpétrés par des groupes de nervis appartenant à la mouvance de l’ultragauche. Ces groupes prenant le plus souvent prétexte de manifestations parfaitement légales et autorisées, et, de plus, parfaitement légitimes, pour se greffer sur les cortèges et accomplir leurs basses œuvres, en marges de ceux-ci, et, le plus souvent, une fois l’ordre de dispersion donné.

Ces exactions, inacceptables, qui touchent au premier rang les riverains et commerçants du centre ville, coûtant très cher à ces derniers, voire finissant par les acculer à la fermeture, laissent, à chaque fois, place à un insupportable spectacle de désolation qui conduit à se demander pourquoi l’Etat consent-il à une telle impuissance.

Si elles atteignent, à Nantes notamment donc, un niveau de gravité particulièrement élevé, cela trouvant une part d’explication dans le fait que les pouvoirs publics aient laissé prospérer pendant des années, la « ZAD de Notre-Dame-des-Landes », à la fois camp retranché et base arrière pour la faune de ces populations… libertaires, autonomes, antifas, altermondialistes, écologistes radicales, lesquelles, chacun le sait, sont à l’origine de ces actes, on assiste depuis quelques temps à la fois à leur banalisation, mais aussi à leur montée en fréquence.

Ces groupes d’ultragauche faisant d’autant plus feu de tout bois que leurs revendications et les motifs de leurs combats se perdent dans le vide idéologique et doctrinal qui les caractérise : pêle-mêle, les OGM, la sauvegarde de l’eau, le prétendu réchauffement climatique, une autoroute, les Jeux Olympiques… peu importe, ces « manifestants professionnels » ou, plutôt, ces professionnels du désordre et du chaos trouvent leur raison d’être — et répondent aux intérêts qu’ils servent, j’y reviens… — à travers ces actions mêmes qui, outre les dégradations matérielles qu’elles impliquent, entraînent à l’occasion coups et blessures, font souvent peser de lourdes menaces sur des vies humaines, voire confinent parfois à des actes de nature terroriste.

Très récemment, entre le 16 et le 21 juillet 2024, et à la suite d’événements comparables, dans leurs motifs notamment, événements qui avaient eu lieu, en mars 2023, à Sainte-Soline, dans les Deux-Sèvres, ce sont tenus, dans le département voisin de la Charente-Maritime, une série de manifestations s’opposant à des projets de « mégabassines », ces infrastructures destinées à stocker de grandes quantités d’eau pour l’irrigation agricole, la ville de La Rochelle devenant à son tour le théâtre de destructions, de saccage, de pillage… perpétrés par les mêmes populations, les mêmes groupes appartenant à la même mouvance.

Plus récemment encore, quelques heures avant la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques, cette fois, les infrastructures de la SNCF faisaient l’objet de sabotages majeurs des postes stratégiques pour l’alimentation électrique du réseau étant vandalisés ces actes compromettant gravement la sécurité sur le réseau ferroviaire,
ils ont lourdement affecté de nombreux axes LGV sur une large part du territoire,
et ont laissé sur le carreau pas moins de 800 000 voyageurs.

S’agissant de ces derniers faits, d’une gravité extrême, et qui allait être encore suivis d’autres détériorations affectant cette fois des antennes relais ou des réseaux de fibre optique, le parquet de Paris a diligenté une enquête sur les chefs, entre autres, d’« association de malfaiteurs », de « dégradations par moyen dangereux en bande organisée », et de « détérioration de bien de nature à porter atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation ».

A l’heure où j’enregistre cette vidéo, l’enquête est toujours en cours et les autorités n’ont pas encore formellement identifié ni, a fortiori, arrêté les auteurs de ces actes de sabotage.

Toutefois, l’ensemble des éléments disponibles, auxquels s’ajoutent de multiples indices, pointent très clairement vers l’ultragauche.

D’ailleurs, le ministre de l’intérieur en sursis, Gérald Darmanin, a lui-même, tout en appelant à la prudence et à se garder de conclusions hâtives, reconnu qu’on retrouvait dans ces sabotages « le mode traditionnel d’action de l’ultragauche ».

Plus factuellement, et même si le lien avec les sabotages n’a pas été confirmé, un militant d’ultragauche a été interpellé, dimanche 28 juillet, sur un site de la SNCF en Seine-Maritime : il avait en sa possession des clés d’accès à des locaux techniques de la SNCF, des pinces coupantes, et de la littérature liée à l’ultragauche.

La veille, en début de matinée, il avait également été procédé, à l’interpellation de 45 membres d’Extinction Rebellion, un groupe d’ultragauche d’orientation écologiste radicale, c’est-à-dire écoterroriste, qui selon les termes du ministre « voulaient [profiter des premières épreuves des Jeux olympiques pour] effectuer des actions de sabotage ou de contestation radicale ».

Ah ! voilà que la physionomie des auteurs commençaient à  se préciser, sans qu’il soit bien sûr question de bafouer la présomption d’innocence. « Extinction Rébellion », donc,
D’ailleurs, on retrouve des militants de cette organisation écoterroriste à la Rochelle, lors de la mobilisation contre les projets de mégabassines…

Même si les actions violentes qui y ont eu lieu semblent plus directement imputables à un autre collectif appartenant à la même mouvance de la prétendue écologie radicale : Les Soulèvements de la terre…

Notons que des synergies entre Les Soulèvements de la Terre et Extinction Rebellion naturellement existent et qu’elles ont déjà pu être observées lors de diverses actions, telle l’occupation de la cimenterie Lafarge à Gennevilliers en juin 2021.

Comme Extinction Rébellion, Les Soulèvements de la terre regroupent des militants radicaux engagés contre les évolutions climatiques, ainsi que des membres de la mouvance autonome, et sont déjà bien connu pour leurs actions de « désobéissance civile », de sabotage et de confrontation violente avec les forces de l’ordre, si connu qu’ils ont fait, pour rappel, l’objet d’une procédure de dissolution, suite aux événements de Sainte-Soline, laquelle n’a très malheureusement pas abouti, le Conseil d’Etat ayant annulé le décret de dissolution.

Pour entrer rapidement dans le détail des motifs de cette décision, ce qui se justifie du fait de son caractère éminemment discutable, le Conseil d’Etat a estimé que,
si les Soulèvements de la terre s’étaient bien rendu coupable d’agissements violents à l’encontre des biens, aucune provocation à la violence à l’encontre des personnes ne pouvait toutefois leur être imputée, et cela en dépit des affrontement d’une extrême violence qui ont opposé, à Sainte-Soline, les membres de cette organisation aux forces de l’ordre, faisant une quarantaine de blessés parmi elles.

On retiendra donc que la destruction délibérée de biens ― rappelons celle de cultures expérimentales en juin 2023 dans la région nantaise ou des commerces de l’avenue Edmond Grasset de la Rochelle, le 20 juillet dernier ―, que le combat en armes contre des agents de l’Etat en charge du maintien de l’ordre, que tout cela ne constitue pas, pour la plus haute juridiction administrative, des troubles à l’ordre public susceptibles de permettre que la procédure de dissolution aille à son terme…

Cette décision est autant inacceptable qu’incompréhensible !

Et je pose ici la question de savoir ce qui en constitue la motivation profonde et inavouée.

De quoi s’agit-il ?
D’indulgence laxiste, de complaisance équivoque, ou de complicité coupable ?…

 

Après tout, la fable mondialiste du prétendu « réchauffement climatique », fable en ceci tout du moins qu’elle affirme dogmatiquement que les phénomènes de changement climatique ne seraient pas simplement curriculaires, et seraient exclusivement imputables à l’activité humaine et à sa croissance, après tout donc communient autour de ces nouveaux dogmes, aussi bien les mondialistes de la finance apatride que les altermondialistes, chantres de la décroissance, les uns et les autres servant naturellement les mêmes intérêts et partageant des objectifs communs !

Mais que faut-il donc au Conseil d’Etat pour qu’il parvienne à s’aviser que, oui, les appels à la violence dont Les Soulèvements de la terre se rendent coupables, sont bel et bien et autant dirigés contre les personnes que contre les biens ?, ce qui justifie et, plus encore, exige que cette organisation soit mise hors-la-loi !

 

L’une des cibles de prédilection de l’ultragauche ces derniers temps, dans le sillage des Législatives anticipées et sur fond d’attribution par l’ARCOM des fréquences TNT, c’est ce qu’elle appelle « l’Empire Bolloré ».

Ainsi la mouvance, manifestement fort soucieuse de trouver le coupable de la progression de l’« extrême-droite » — j’entoure, bien sûr, le terme de guillemets ― et du péril que la « bête immonde » venait de faire courir à la « démocratie » se retrouvait-elle au grand complet dans un « Appel unitaire » éloquemment intitulé « Désarmons l’empire Bolloré. Riposte antifasciste ! », puisque cet empire, et plus particulièrement ses médias, serait « devenu un levier majeur de la conquête du pouvoir par l’extrême droite », guillemets de citation, cette fois.

Mais si ce texte, sur les signataires duquel je reviens dans un instant, prétend lancer une campagne d’actions, il ne dit toutefois rien sur les moyens d’action préconisés.

Pour être fixé, il faut notamment regarder les publications des Soulèvements de la terre sur leur compte X. Ainsi, le 30 juillet, 15 jours après la publication de l’ « Appel unitaire », ce compte relayait-il un article, initialement publié sur un site internet, se revendiquant « révolutionnaire » et dénommé « la Grappe ».

L’article en question se demande « Comment trouver une adresse du groupe Bolloré près de chez soi ? », et revendique avoir identifié les dépôts pétroliers, les stations d’essence ou les agences de transport appartenant au groupe, sans manquer de proclamer s’inscrire « dans une perspective d’action directe (qu’il s’agisse d’un sabotage comme d’un tractage devant l’usine…) », et d’illustrer le tout par une photographie de bus en flammes…

 

On reste, donc, une nouvelle fois sans voix devant l’indulgence dont Les Soulèvements de la terre et organisations du même type bénéficient, d’autant que, sans ambiguité, il est là incité à l’action directe, et, pour faire écho aux termes ayant motivé la décision incompréhensible du Conseil d’Etat, à des actions qui ne constituent pas seulement des menaces d’atteinte aux biens, mais tout autant aux personnes, à commencer par celles salariées par le groupe visé !

Le schéma est d’ailleurs loin d’être inédit : des exaltés d’extrême-gauche s’en prennent, au nom de leur idéaux mondialistes fumeux, nourris en l’espèce de religion réchauffiste, à de simples travailleurs et à leur outil de travail !

 

Mais, si Les Soulèvements de la terre ou Extinction Rébellion se caractérisent par leur radicalité, ce serait se méprendre que de penser que d’autres organisations de la même mouvance en apparence plus présentables, plus policées, plus respectueuses de la démocratie et de la République, seraient d’une nature autre.

D’ailleurs, abstraction faite des différences de forme, les objectifs poursuivis sont semblables, outre que les accointances sont réelles et irrécusables, pour preuve, parmi de nombreuses autres, le soutien dont bénéficient les deux organisations écoterroristes en question, notamment auprès des cadres d’Europe Ecologie Les Verts… pour preuve encore l’absence systématique de condamnation de la part des dirigeants des partis de cette gauche radicale, à l’égard des « black blocs » qui, manifestation après manifestation, cassent, saccagent et ne laissent place qu’au chaos et à la désolation.

Ainsi est-ce l’ensemble de la nébuleuse d’ultragauche qui représente un poison mortel pour la démocratie et la République, mais, instrumentalisée par certains intérêts particulièrement puissants – ultralibéraux, antinationaux et mondialistes… —, il lui est largement permis de nuire.

Car cette mouvance d’ultragauche où convergent et s’imbriquent les courants écologistes radicaux, autonomes, libertaires, anticapitalistes, antifascistes, altermondialistes, etc. a beau se proclamer — et se croire ? — « antisystème », elle ne constitue bien évidemment que la périphérie du « système » ; elle le sert, le renforce, et décuple sa force de destruction antisociale et antinationale.

J’évoquais à l’instant les fameux « black blocs », ces groupes de nervis ultraviolents, pour partie constitués d’éléments étrangers, notamment allemands — la supercherie antifasciste ayant sans nul doute beaucoup à voir avec un complexe de culpabilité —, groupes dont on connaît bien la capacité de nuisance, tout particulièrement en marge des manifestations de salariés, quiconque observera de façon un tant soit peu avisée la fonction qu’ils remplissent réellement lors de ces manifestations, ne manquera pas de comprendre que le « système » qu’ils prétendent abattre tire en réalité un très grand bénéfice des exactions qu’ils commettent : cela permet que soit jeté le discrédit sur les manifestations et sur les revendications légitimes qu’elle porte ; les médias dudit système ne manquent pas de diffuser les images de ces manifestations avec leur lot de casse et de saccages, ce qui ne manque pas de persuader une bonne part de l’opinion de l’illégitimité de la manifestation, et de la conforter dans l’idée symétrique de ce que c’est le système, garant, lui, de l’ordre, qui est seul légitime.

D’ailleurs, il a été établi, à l’occasion de manifestations récentes, celles des Gilets Jaunes notamment, qu’on avait délibérément laissé ces « black blocs » infiltrer lesdites manifestations dans le but de les discréditer aux yeux de l’opinion.

Mais j’en reviens pour terminer aux signataires de l’ « Appel unitaire » évoqué tout à l’heure, c’est-à-dire à d’autres composantes encore de cette mouvance d’ultragauche, véritable poison.

On trouve parmi les signataires de l’ « Appel », le syndicat SUD, membre de l’Union syndicale Solidaires, dont j’ai pu personnellement et à de multiples reprises mesurer toute la force de nuisance, tout particulièrement dans l’éducation : SUD éducation remplit très clairement la fonction de détruire ce qu’il reste de notre pauvre Ecole, en tant que sa fonction intrinsèque est de transmettre, d’instruire et de permettre ainsi la promotion sociale des jeunes gens qui lui sont confiés en assurant leur avenir individuel et, par là même, l’avenir collectif de la nation.

SUD rejette absolument ces très essentielles finalités, auxquelles il a délibérément substitué un seul autre objectif qui est celui de l’ « inclusivité » : il faut que l’Ecole soit « inclusive » et qu’elle constitue le lieu où se construit une « autre société » elle-même inclusive, c’est-à-dire qu’elles promeuvent, contre l’universalisme républicain, tous les particularismes individuels et communautaires…

En d’autres termes, SUD est parmi les organisations constituant la mouvance de l’ultragauche, l’une de celles qui s’avère le plus efficient vecteur de l’idéologie « woke », dont il est clair qu’elle est l’une des composantes de l’idéologie mondialiste, et l’une des plus redoutablement efficaces, en ceci que, par le biais d’une Ecole dévoyée et au dévoiement de laquelle elle participe largement, elle agit sur des esprits en formation.

Et cette organisation n’hésite pas, au mépris des règles qui encadrent le syndicalisme véritable et lui font honneur, celle de la neutralité politique, notamment, à manipuler la jeunesse ― des lycéens, voire des collégiens ― pour la convertir à ses délétères idéaux et l’associer à ses actions subversives…

On retrouve enfin parmi les signataires, je terminerai tout du moins par ce dernier cas, le mouvement international ATTAC, organisation altermondialiste, qui mène à l’occasion des actions communes avec Les Soulèvements de la Terre, en protestation, par exemple, contre des projets d’autoroutes ou d’infrastructures de bétonisation.

Il y aurait beaucoup à dire sur une organisation comme ATTAC, au point qu’une prochaine vidéo pourrait lui être à elle seule consacrée : tout particulièrement aux collusions qui sont les siennes, dès l’origine, avec la fondation Soros, dont la raison d’être est de subvertir les nations et de détruire les peuples et leurs identités, dans le seul but de promouvoir l’idéologie mondialiste — car, et que nul ne s’y trompe, l’ « altermondialisme » est évidemment encore et toujours un mondialisme, et n’a d’autre fonction que de servir le mondialisme, celui du capitalisme financier qu’il affirme toutefois vouloir combattre.

Avec ATTAC, nous avons affaire à un cas chimiquement pur de l’imposture que constitue l’ultragauche : s’il en faut une preuve, on notera que cette organisation prétend, et à juste titre, dénoncer les traités de libre-échange, mais se garde bien de prendre une position claire sur notre appartenance à l’Union européenne, qui constitue pourtant la cause première de ces traités, dans la mesure où c’est elle qui les conclut au nom des Etats qui en sont membres, c’est elle qui nous condamne, et condamne notamment nos paysans à en subir les conséquences désastreuses, le commerce étant l’une des compétences exclusives de l’Union européenne…

Imposture généralisée, manipulation des esprits, de ceux de la jeunesse, en particulier, détestation des nations, c’est-à-dire du cadre nécessaire à toute démocratie, négation pure et simple de l’universalisme républicain, diffusion de l’idéologie « woke », et de l’ensemble de celles qui lui sont adossées, promotion de l’ultralibéralisme sociétal, dans le but de subvertir et de détruire les peuples et leurs identités, en faisant le jeu du capitalisme financier mondialisé, exercice d’un véritable terrorisme intellectuel dans les milieux qu’elles noyaute : l’enseignement, la culture, les médias usage de la violence contre les biens, mais aussi les personnes, avec la commission de destructions, de saccages, de sabotages, avec une large impunité qui révèle à elle seule combien cette mouvance se prétendant « antisytème » sert en réalité le « système » qu’elle prétend combattre !

Alors oui, incontestablement, l’ultragauche est un poison, un poison mortel.
Et c’est bien pourquoi, elle doit être démasquée, combattue et mise hors d’état de nuire !

 

 

 

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