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Incendie de la cathédrale de Nantes : l’immigration illégale plus que jamais en question
Communiqué de presse d’Alain Avello
Conseiller régional des Pays de la Loire
Référent Les Patriotes Loire-Atlantique
Membre de l’Equipe nationale des Patriotes
Samedi 18 juillet, un incendie criminel frappait la cathédrale Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Nantes, incendie maîtrisé au bout de trois heures grâce aux valeureux combattants du feu du SDIS44 et à leur très grand professionnalisme. Le principal dégât causé par cet incendie : la destruction totale des grandes orgues datant du Grand Siècle, temps où l’esprit français était à son apogée et où son génie brillait de mille feux à travers les arts et les lettres.
Le professionnalisme de la police judiciaire est également à saluer : il a permis l’arrestation, le jour même, d’un homme immédiatement placé en garde à vue. Le présumé coupable serait un Rwandais en situation irrégulière, néanmoins employé par le diocèse, et qui aurait bénéficié à ce titre d’un libre accès à l’édifice…
Après avoir été une première fois remis en liberté, l’auteur présumé des faits a finalement été, ce samedi 25 juillet, présenté au parquet qui a requis son placement en détention provisoire. Dans le même temps, il apparaissait que l’individu avait épuisé toutes les voies de recours en vue d’un maintien régulier sur le territoire national, et qu’il était par conséquent sous le coup d’une OQTF (obligation de quitter le territoire français), de sorte que les événements mettent inéluctablement en question l’immigration, tout particulièrement illégale, et soulignent une nouvelle fois qu’elle menace l’intégrité d’une société qui n’en peut plus, d’autant qu’elle s’accompagne souvent de défiance, voire de détestation à l’égard de nos mœurs, de nos valeurs et de notre culture. Car il faut littéralement haïr la France pour incendier ses cathédrales, où s’inscrit dans la pierre la richesse de sa culture nourrie et façonnée tout au long d’une histoire multiséculaire.
La République a vocation à être ouverte à l’immigration, mais sous la triple condition qu’elle l’encadre légalement, qu’elle la maîtrise numériquement et qu’elle puisse ainsi l’assimiler. Or l’immigration illégale, dont le maintien sur le territoire de ceux qui ont pourtant été déboutés du droit d’asile est l’un des principaux vecteurs, et qui fait l’objet de la part des autorités du plus grand des laxismes, non seulement défie la légalité républicaine, mais rend impossible toute assimilation.
Il est donc grand temps de mener une lutte sans merci contre l’immigration illégale, ce qui suppose de retrouver la pleine maîtrise de nos frontières et de notre politique migratoire, largement confisquée par l’Union européenne, afin de sauver le modèle assimilationniste de la République, lequel exige le respect inconditionnel de nos institutions et de notre culture et la pleine acceptation de nos mœurs et de nos valeurs.