Militant du « non » au référendum sur le traité de Maastricht (septembre 1992), issu de la gauche républicaine et patriote qui ne survivra pas, en 2002, à l’échec du Pôle républicain de Jean-Pierre Chevènement, résolument positionné par-delà la gauche et la droite, Alain Avello rejoindra en 2011 le Front national, dont il sera l’une des incarnations du courant souverainiste, étatiste et social et dont il élaborera la partie éducation du projet de sa candidate à la Présidentielle de 2017. Prenant acte de l’abandon par ce parti du projet de sortie de l’Union européenne, impliquant celui de son orientation sociale, il en démissionne en septembre 2017. Conseiller régional des Pays de la Loire, il est depuis lors cadre national et local du mouvement Les Patriotes au sein duquel il s’engage pour la souveraineté de la France et le bien-être social des Français.